Fiche LE MOBILE
Blog illustrant soixante ans de carrière du comédien français Henri Labussière.
Synopsis: Suite à une énième défaite de la légion romaine face aux irréductibles gaulois, César décide de se débarrasser de Panoramix. Croyant que la terre est plate, il le fait catapulter au-delà du bout du monde. Le pauvre Panoramix atterrit alors en Amérique et est fait prisonnier par une tribu d'indiens. Heureusement, Astérix et Obélix arrivent eux aussi sur ce territoire mystérieux !
Éditeur: Studiocanal
Distribution: Plaion Pictures
Acteurs (Fr.): Roger Carel, Pierre Tornade, Henri Labussière, Robert Party, Pierre Tchernia...
Réalisateur: Gerhard Hahn
Pays et année de production: Allemagne / 1994
Genre: Animation, Comédie
Langues: Allemand DTS-HD MA 2.0, Anglais DTS-HD MA 2.0, Français DTS-HD MA 2.0, Espagnol DTS-HD MA 2.0
Sous-titres: Allemand
Region: B
Disque: BD-25 GB
Format de l'image: 1920x1080p (1.66:1) @24 Hz
Video-Codec: MPEG-4/AVC
Durée: 85 Minutes
Informations complémentaires sur le disque:
Version cinéma allemande intégrale, 16:9 plein écran, son HD (allemand et anglais), couverture réversible,
film remastérisé en 4K.
Mise en vente: 21.11.2024
Georges Folgoas avait demandé au gentil Henri Labussière de venir faire un sketch. A la répétition, il nous donna le choix entre plusieurs textes et d’un commun accord nous choisîmes un monologue très drôle d’un vieil acteur en proie au trou de mémoire. Le soir de l’enregistrement, Labussière commença son numéro au milieu de l’hilarité générale. Il accumulait les « euh », les bredouillis et les silences. Très vite il me sembla qu’il y en avait beaucoup plus que la veille. Il s’arrêta au bout d’un moment, et devant les spectateurs tordus de rire, car ils pensaient qu’il s’agissait toujours du sketch, il déclara que la mémoire lui manquait. Six fois nous reprîmes. Six fois il ne put aller plus loin que la première phrase. Lorsqu’il nous quitta au bord des larmes, le public lui fit un triomphe, persuadé d’avoir assisté à un très grand numéro.
Phillipe Bouvard: Un Oursin dans le caviar, Éditions Stock (1974)
J’avais une place de pion au lycée Montaigne, en bordure du Luxembourg. Mon maigre salaire me permettait de payer, rue de la Grande-Chaumière, le loyer d’un atelier d’artiste que je partageais avec un camarade, Henri Labussière, que n’avait pas encore saisi le démon du cinéma. Cet atelier était vite devenu un de nos lieux de rassemblement au sortir des cours. Chaque mois, lorsque je touchais ma paye, j’achetais une caisse de mousseux, des fleurs et des gâteaux et nous dansions, au grand dam du marchand de tableaux, notre voisin du dessous, dont les précieux cadres dorés se balançaient dangereusement à leur clou aux solives du plafond de sa boutique.
Jean Perrot: Et ils sortirent du paradis... Carnets d'un archéologue en Orient 1945-1995, Éditions de Fallois (1997)
Argument: Pour ne pas vivre une fois de plus un amour sans lendemain, Jean décide d’aimer à distance une femme avec laquelle il convient de n’entretenir que des rapports épistolaires. Alors qu’il s’épanouit dans cette relation d’un nouveau genre, excluant toute forme de jalousie et de souffrance, voilà que le mari décide de s’en mêler. Ce triangle amoureux se complique encore d’avantage lorsque la propre femme de Jean entre dans la danse. (Theatreonline.com)
Fiche technique: "Un amour qui ne finit pas" est une pièce en deux actes écrite et mise en scène par andré Roussin. Scénographie de Georges Wakhévitch, costumes de Jacques Heim, musique de Henri Sauguet, construction des décors par André Conil. Création de la pièce le 23 février 1963 au Théâtre de la Madeleine (Paris), reprise en 1964.
Comédiens: Huguette Hue (Juliette), Rosy Varte (Germaine), Christian Alers (Jean), François Guérin (Roger), Danièle Hénard (Blanche), Michèle Gérard
(Raymonde), Henri Labussière / André-Laurent (Un curiste).
Commentaires: Tant d'amertume et de naïveté découragée font courir à Roussin le risque de décevoir son public de rieurs sans que sa tristesse nouvelle lui en attire d'autres. En pleurant sur la fragilité du cœur après en avoir ri, il ne fait jamais que passer de l'enfantillage au chagrin de gosse. Il ne suffit pas de se désoler pour viser plus haut. " Je voudrais tant ne pas mourir ! ", gémit l'avant-garde ; " Je voudrais tant que l'amour dure ", gémit le Boulevard... Ces plaintes pareillement usées et impuissantes ne sont-elles pas le signe qu'il leur faut, à l'un comme a l'outre, sortir de soi ? (B.Poirot-Delpech - Le Monde, 27 février 1963)
Liens externes: Les archives du spectacle, ...
Programme du Théâtre de la Madeleine:
Photos de presse:
Coupures de presse:
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Coupure de presse, 1963. |